A. Chervenak Franc, M.D
Professeur et Président donnés de fondation
Département de l’obstétrique et de la Gynécologie
Université médicale de Weill d’université de
Cornell, New York, New York (Etats-Unis)
Laurence B. McCullough, Ph.D.
Professeur de la médecine et de l’éthique médicale,
directeur d’associé pour l’éducation
Centre pour l’éthique et la politique sanitaire
médicales
Université de Baylor de la médecine, Houston, le
Texas (Etats-Unis)
L’éthique est une cote essentielle de la pratique
obstétrique (1.2.3). En cet article, nous avons développé un
cadre pour le jugement clinique et la prise de décision au sujet des
cotes morales du rapport d’obstétricien-patient. Nous
soulignons une approche préventive d’éthique qui apprécie le
potentiel pour le conflit moral et adopte des stratégies moralement
justifiées pour empêcher ces conflits de se produire. Nous
définissons d’abord l’éthique, l’éthique médicale, et les
principes moraux fondamentaux de l’éthique, de la bienfaisance et du
respect médicaux pour l’autonomie. Nous indiquons alors comment
ces deux principes devraient agir l’un sur l’autre dans le jugement et
la pratique obstétriques, avec l’accent sur le concept de noyau du
foetus en tant que patient.
Éthique médicale et principes moraux :
L’éthique est l’étude disciplinée de la moralité.
L’éthique médicale est étude disciplinée de la moralité
dans la médecine et concerne les engagements des médecins et des
organismes de santé aux patients aussi bien que les engagements des
patients (4). Il est important de ne pas confondre l’éthique
médicale avec les nombreuses sources de moralité dans une société
pluraliste, qui incluent la loi, les religions du monde, des
traditions ethniques et culturelles, des familles, les traditions et
des pratiques de la médecine (éducation médicale y compris et
formation), et une expérience personnelle. L’éthique médicale
depuis les dix-huitième éclaircissements européens et américains
de siècle a été (5) séculaire. Elle ne fait aucune
référence à Dieu ou à la tradition indiquée, mais à quel
discours raisonnable exige et produit. Par conséquent, on
devrait comprendre que des principes et les vertus moraux s’appliquent
à tous les médecins, indépendamment de leur croyance religieuse et
spirituelle personnelle (6). Les traditions et les pratiques de
la médecine constituent une source importante de moralité pour des
médecins, parce qu’elles sont basées sur l’obligation de protéger
et favoriser les intérêts relatifs à la santé du patient.
Cet engagement indique à des médecins quelle moralité dans la
médecine doit être, mais en termes très généraux et abstraits.
Fournir un compte plus concret et cliniquement plus applicable
de cet engagement est le central chargent de l’éthique
médicale, en utilisant des principes moraux (4).
Le principe moral de la bienfaisance :
Le principe moral de la bienfaisance exige d’on d’agir
d’une manière dont est attendu sûrement pour produire l’équilibre
des prestations plus grand que l’excédent nuit dans les durées de
vie de d’autres (6). Mettre ce principe dans la pratique
clinique exige un compte fiable des prestations et nuit à approprié
au soin du patient et de la façon dont ces marchandises et nuisent
devraient être raisonnablement équilibrées les uns contre les
autres quand pas tous peuvent être réalisés dans une situation
clinique particulière, telle qu’une demande d’une livraison
césarienne élective (7). Dans la médecine, le principe de la
bienfaisance exige du médecin d’agir d’une manière dont est
sûrement attendu pour produire l’équilibre plus grand des
prestations cliniques que l’excédent nuit pour le (4) patient.
le jugement clinique Bienfaisance-basé a un pedigree
antique, avec sa première expression trouvée dans le serment
hippocratique et accompagnante des textes (8). Il fait une
demande de règlement importante : pour interpréter sûrement
les intérêts relatifs à la santé du patient de la perspective de
la médecine. Cette perspective est fournie par recherche
scientifique accumulée, expérience clinique, et réponses
raisonnées à l’incertitude. Ce n’est ainsi pas le
fonctionnement de la perspective clinique individuelle d’aucun
médecin particulier et ne devrait pas donc être basé simplement sur
l’impression ou l’intuition clinique d’un médecin individuel.
Sur la base de cette perspective clinique rigoureuse, qui
devrait être basée sur la meilleure preuve disponible, le jugement
clinique bienfaisance-basé identifie les prestations qui peuvent
être réalisées pour le patient dans la pratique clinique basée sur
les compétences de la médecine. Les prestations que la
médecine est compétente pour chercher pour des patients sont la
prévention et la gestion de la maladie, les blessures, l’handicap, et
la douleur et la douleur inutile et la prévention de la mort
prématurée ou inutile. Douleur et souffrance devenues inutiles
quand elles n’ont pas en réalisant les autres marchandises du soin
médical, par exemple, permettant à une femme de travailler sans
analgésie effective (4).
Non-maleficence signifie que le médecin devrait
empêcher entraîner le mal et mieux est compris en tant qu’exprimer
les limites de la bienfaisance. Ceci est également connu comme
le « de prime nocere non » ou « ne font d’abord aucun mal. » Ce
dogme comparateur appelé est vraiment une interprétation fausse de
Latinized des textes hippocratiques qui ont souligné la
bienfaisance tout en évitant le mal en approchant les limites de la
médecine (4). Il est important de noter qu’il y a un risque
inhérent de paternalisme dans le jugement clinique
bienfaisance-basé. Par ceci nous voulons dire que le
jugement clinique bienfaisance-basé, s’il est, de manière
erronée considéré la source unique de responsabilité morale et
donc autorité morale dans le soin médical, invite le médecin de
négligés à conclure que des jugements bienfaisance-basés
peuvent être imposés au patient dans la violation de son autonomie.
Le paternalisme est une réponse de déshumanisation au patient
et devrait, en conséquence, être évité dans la pratique de
l’obstétrique.
La réponse préventive d’éthique à ce paternalisme
inhérent est pour que le médecin explique le diagnostique,
thérapeutique, et raisonnement pronostique que cela mène à son
jugement clinique au sujet de ce qui est dans l’intérêt du patient
ainsi que le patient peut évaluer ce jugement pour elle-même.
Cette règle générale peut être mise dans la pratique
clinique de la façon suivante. Le médecin devrait révéler et
expliquer au patient les facteurs principaux de ce procédé de
raisonnement, y compris des sujets de l’incertitude. Dans ni la
loi médicale ni l’éthique médicale ne fait ceci exigent que le
patient soit équipé d’éducation médicale complète (9). Le
médecin devrait alors expliquer comment et pourquoi d’autres
cliniciens pourraient raisonnablement différer de son jugement
clinique. Le médecin devrait alors présenter une réponse
bien-raisonnée à cette critique. Les résultats de ce
procédé sont que les jugements cliniques bienfaisance-basés
prennent une rigueur de la laquelle ils manquent parfois, et le
procédé de leur formulation inclut les expliquer au patient.
Il devrait être évident que le jugement clinique
bienfaisance-basé aura fréquemment comme conséquence
l’identification d’un continuum de stratégies cliniques qui
protègent et favorisent les intérêts relatifs à la santé du
patient, tels que le choix de prévenir et de contrôler les
complications de la ménopause. La conscience de ce dispositif
de jugement clinique bienfaisance-basé fournit un antidote
préventif important d’éthique au paternalisme en augmentant la
probabilité qui un ou plusieurs de ces solutions de rechange
médicalement raisonnables et preuve-basées semblera acceptable au
patient. Tous des solutions de rechange bienfaisance-basées
doivent être identifiés et expliqués à tous les patients,
indépendamment de la façon dont le médecin est payé,
particulièrement ceux qui sont bien établis dans l’obstétrique et
la gynécologie preuve-basées.
Un avantage pour le médecin en effectuant cette approche
à communiquer avec le patient serait, nous considèrent, d’augmenter
la probabilité de la conformité (10). C’est une considération
particulièrement convenable dans la pratique gynécologique, où le
patient souvent doit se surveiller pour les changements cliniques (par
exemple, une femme en danger pour la grossesse ectopique) et prendre
un rôle actif dans la médecine préventive (par exemple, sein
art de l’auto-portrait-examination) aussi bien que de la pratique obstétrique (par
exemple, art de l’auto-portrait-observation pour le gain ou la saignée peu commun
de grammage). Un autre avantage devrait fournir au patient une
opportunité meilleur-au courant de prendre une décision environ
si chercher une deuxième opinion. L’approche décrite ci-dessus
devrait prendre une telle décision menaçant moins à son médecin,
qui a déjà partagé avec le patient les limitations sur le jugement
clinique.
Le principe moral du respect pour l’autonomie :
Dans le contraste au principe de la bienfaisance, là
avait augmenté l’emphase dans la littérature de l’éthique médicale
selon le principe du respect pour l’autonomie (6). Ce principe
exige d’on toujours de reconnaître et effectuer les préférences
valeur-basées de l’adulte, patient compétent, à moins que là
contraigne la justification morale pour ne pas faire ainsi, par
exemple, les antibiotiques de prescription pour des infections
respiratoires virales. La patiente enceinte apporte de plus en
plus à son soin médical sa propre perspective sur ce qui est dans
son intérêt. Le principe du respect pour l’autonomie traduit
ce fait en jugement clinique autonomie-basé. Puisque la
perspective de chaque patient sur elle des intérêts est un
fonctionnement d’elle des valeurs et croyance, il est impossible
d’indiquer les prestations et nuit du jugement clinique
autonomie-basé à l’avance. En effet, il serait inadéquat
que le médecin fasse ainsi, parce que la définition d’elle des
prestations et nuit et leur équilibrage sont la prérogative du
patient. Pas étonnamment, le jugement clinique
autonomie-basé est fortement anti-paternaliste en nature (4).
Pour comprendre les demandes morales de ce principe, nous
avons besoin d’operationalized le concept de l’autonomie pour le
rendre approprié à la pratique clinique. Pour faire ceci, nous
identifions trois comportements autonomie-basés séquentiels de la
part du patient : 1) informations absorbantes et de retenues sur
son état et réponses diagnostiques et thérapeutiques alternatives
à lui ; 2) arrangement que l’information (c.-à-d., évaluant
et ranger-commandant ces réponses et appréciant qu’il pourrait
éprouver les risques du traitement ; et 3) exprimant une
préférence valeur-basée. Le médecin a un rôle à jouer
dans chacune de ces derniers. Ils sont, respectivement, 1) pour
identifier la capacité de chaque patient de traiter l’information
médicale (et pour ne pas sous-estimer que capacité), de fournir des
informations (c.-à-d., révéler et expliquer des solutions de
rechange tout médicalement raisonnables, c.-à-d., soutenues dans le
jugement clinique bienfaisance-basé), et d’identifier la validité
des valeurs et de la croyance du patient ; 2) pour ne pas
interférer mais, si nécessaire, pour ne pas aider le patient dans
son évaluation et rang des solutions de rechange diagnostiques et
thérapeutiques pour contrôler son état ; et 3) pour obtenir
et mettre en application la préférence valeur-basée du patient
(4).
Les engagements dans la loi des Etats-Unis du médecin
concernant le consentement au courant ont été déterminés dans une
série de cas pendant le vingtième siècle. En 1914, Schloendorff v. La société de l’hôpital de
New York a déterminé le concept du consentement
simple, IE, si le patient indique « oui » ou « jamais » à l’intervention
médicale (9.11). À ce jour dans la littérature médicale et
de bio-éthique, cette décision est citée : « chaque être
humain des années d’adulte et d’esprit sain a le droit de déterminer
ce qui sera fait avec son corps, et un chirurgien qui exécute un
fonctionnement sans consentement de son patient commet un assaut dont
il est responsable dans les dégâts » (11). La condition légale
encore de consentement évolué à incluent la révélation
d’information suffisamment pour permettre à des patients de prendre
des décisions au courant environ si dire « oui » ou « jamais » à
l’intervention médicale (9).
Il y a deux normes dans la loi des Etats-Unis pour une
telle révélation. La norme professionnelle de communauté,
adoptée par la minorité de conditions aux Etats-Unis, définit la
révélation adéquate dans le contexte de ce que le médecin de
façon appropriée qualifié et expérimenté dit à des patients.
La norme raisonnable de personne, qui a été adoptée par la
plupart des conditions, va plus loin et exige du médecin de révéler
l’information « matérielle », ce que n’importe quel patient en état du
patient doit savoir et la personne de configuration de la
sophistication moyenne ne devrait pas être prévue savoir.
Cette personne raisonnable a émergé comme norme morale, et
nous invitons donc des obstétriciens à l’adopter. Sur cette
norme, le médecin devrait révéler au patient elle ou le diagnostic
du foetus (diagnostic différentiel y compris quand c’est tout qu’est
connu), les solutions de rechange médicalement raisonnables pour
diagnostiquer et contrôler l’état du patient, et les prestations et
les risques à court terme et à long terme de chaque alternative.
Le concept moral du foetus en tant que patient :
On bienfaisance-base évidemment et des engagements
autonomie-basés à la patiente enceinte : la perspective du
médecin sur les intérêts relatifs à la santé de la femme enceinte
fournit la base pour les engagements bienfaisance-basés du
médecin lui, attendu que sa propre perspective sur ces intérêts
fournit la base pour les engagements autonomie-basés du médecin
lui. À cause d’un système nerveux central insuffisamment
développé, on ne peut pas clairement dire que le foetus possède des
valeurs et la croyance. Ainsi, il n’y a aucune de base à dire
qu’un foetus a une perspective sur ses intérêts. Il ne peut
donc y avoir aucun engagement autonomie-basé à n’importe quel
foetus. Par conséquent, la langue des droites foetales n’a
aucune signification et donc aucune application au foetus dans le
jugement et la pratique cliniques obstétriques en dépit de sa
popularité dans le discours public et politique aux Etats-Unis et
d’autres pays. Évidemment, le médecin a une perspective sur
les intérêts relatifs à la santé du foetus, et le médecin peut
bienfaisance-avoir basé des engagements au foetus, mais seulement quand le foetus est un patient. À cause de son importance pour le jugement et la pratique
cliniques obstétriques, la matière du foetus en tant que patient
exige la considération détaillée (4).
Le concept moral du foetus en tant que patient est
essentiel au jugement et à la pratique cliniques obstétriques.
Les développements dans des stratégies foetales de diagnostic
et de gestion pour optimiser des résultats foetaux sont devenus
largement admis, encourageant le développement de ce concept.
Ce concept a la signification clinique considérable parce que,
quand le foetus est une consultation patiente et directive, c.-à-d.,
recommandant une forme de gestion, parce que la prestation foetale est
c’est-à-dire, offre de consultation appropriée et et quand le foetus
n’est pas un patient, nondirective mais la recommandation d’une
forme de gestion pour la prestation foetale est appropriée.
Cependant, il peut y avoir incertitude environ quand le foetus
est un patient. Une approche à résoudre cette incertitude
devrait arguer du fait que le foetus est ou n’est pas un patient dans
la vertu du personhood, ou une autre forme de statut moral
indépendant. Nous prouvons maintenant que cette approche ne
résout pas l’incertitude, et nous défendons donc une approche
alternative qui résout l’incertitude.
Le statut moral indépendant du foetus :
Une approche en avant pour déterminer si le foetus est un
patient a impliqué des tentatives d’indiquer si le foetus a le statut
moral indépendant. C’est l’approche au statut moral du foetus
pris en théologie morale catholique. C’est le premier sens du
concept du foetus en tant que patient. Le statut moral
indépendant pour le foetus signifie qu’une ou plusieurs
caractéristiques que le foetus possède seule et, en conséquence,
indépendamment de la femme enceinte ou de n’importe quel autre
facteur, se produisent et donc des engagements de masse au foetus de
la part de la femme enceinte et de son médecin.
Beaucoup de caractéristiques foetales ont été nommées
pour ce rôle, y compris le moment de la conception, de
l’implantation, du développement de système nerveux central, de
l’accélération, et du moment de la naissance. Elle devrait
venir en tant qu’aucune surprise qu’il y a variation considérable
parmi des arguments moraux environ quand le foetus acquiert le
caractère moral indépendant. Certains considèrent que le
foetus a le statut moral indépendant du moment de la conception ou de
l’implantation. D’autres croient que le caractère moral
indépendant est acquis en degrés, ainsi ayant pour résultat le
statut moral « évalué ». Encore d’autres se maintiennent, au
moins implicitement, que le foetus n’a jamais le statut moral
indépendant à condition qu’il soit dans l’utérus (12.13).
En dépit de jamais-augmenter la littérature
théologique et philosophique à ce sujet, il n’y a eu aucune
fermeture sur un compte bien fondé unique du statut moral
indépendant du foetus. C’est des résultats unsurprising
parce que, donné l’absence d’une méthode unique qui serait bien
fondée pour toutes les écoles théologiques et philosophiques
nettement diverses de pensée impliquées au cours de cette discussion
sans fin, la fermeture est impossible. Pour la fermeture jamais
à être possible, des discussions au sujet d’une autorité si finale
à l’intérieur et entre des traditions théologiques et
philosophiques devraient être résolues d’une manière satisfaisante
à tous, à un événement intellectuel et culturel inconcevable.
Dans son premier sens, cela du statut moral indépendant du
foetus, le foetus en tant que patient n’a aucune écurie ou
cliniquement signification applicable. Nous abandonnons donc ces
tentatives futiles de comprendre le foetus en tant que patient en
termes de statut moral indépendant du foetus et de se tourner vers
une approche alternative qui des marques il possible d’identifier des
sens moralement distincts du foetus en tant que patient et de leurs
implications cliniques pour la consultation directive et
nondirective.
Le statut moral dépendant du foetus :
Notre analyse de ce deuxième sens du concept du foetus en
tant que patient commence par l’identification qu’étant un patient
n’a pas besoin de qu’on possèdent le statut moral indépendant.
Plutôt, être un patient signifie qu’on peut tirer bénéfice
des applications des qualifications cliniques du médecin.
Mettez plus avec précision, un être humain sans statut moral
indépendant est correctement considéré en tant que patient quand
deux conditions sont réunies : qu’un être d’humain 1) est
présenté au médecin, et 2) là existent les interventions cliniques
qui sont sûrement attendues pour être efficaces, du fait on s’attend
à ce que sûrement elles aient comme conséquence un plus grand
équilibre des prestations cliniques que l’excédent nuit pour l’être
humain en question (14). C’est le deuxième sens du concept du
foetus en tant que patient, ce que nous appelons le statut moral
dépendant du foetus.
Les auteurs ont argué du fait ailleurs que les
engagements bienfaisance-basés au foetus existent quand on
s’attend à ce que sûrement plus tard le foetus réalise le statut
moral indépendant en tant qu’un enfant et personne (4).
C’est-à-dire, le foetus est un patient quand le foetus est
présenté pour les interventions médicales, si diagnostique ou
thérapeutique, qui raisonnablement peuvent être prévues pour avoir
comme conséquence un plus grand équilibre d’excédent de
marchandises nuit pour l’enfant et la personne le foetus peut plus
tard être pendant l’enfance tôt. La signification morale du
concept du foetus en tant que patient dépend, donc, des barrettes qui
peuvent être déterminées entre le foetus et son statut moral
indépendant de réalisation postérieur.
Le Patient Foetal Viable :
Une telle barrette est viabilité. La viabilité,
cependant, doit être comprise en termes de facteurs biologiques et
technologiques. C’est seulement en vertu des deux facteurs qu’un
foetus viable peut exister utero ex et réaliser ainsi le statut
moral indépendant. Quand un foetus est viable, c.-à-d., quand
il est de maturité suffisante de sorte qu’il puisse survivre dans la
période néonatale et réaliser le statut moral indépendant donné
la disponibilité du support technologique requis, et quand il est
présenté au médecin, le foetus est un patient. La viabilité
existe en fonction des capacités biomédicales et technologiques, qui
sont différentes dans différentes régions du monde. Par
conséquent, il n’y a, à l’heure actuelle, aucun âge mondial et
uniforme de gestational pour définir la viabilité. Aux
Etats-Unis, nous croyons, viabilité se produit actuellement à
approximativement 24 semaines de l’âge de gestational (15).
Quand le foetus est un patient, la consultation directive
pour la prestation foetale est moralement justifiée. Dans la
pratique clinique, la consultation directive pour la prestation
foetale implique un ou plusieurs de ce qui suit : recommandation
contre l’arrêt de la grossesse ; recommandation contre la
gestion non-agressive ; ou gestion agressive de
recommandation. La gestion obstétrique agressive inclut des
interventions telles que la surveillance foetale, le tocolysis, la
livraison césarienne, ou la livraison à un centre tertiaire de soin
une fois indiquée. la gestion obstétrique Non-agressive
exclut de telles interventions. La consultation directive pour
la prestation foetale, cependant, doit tenir compte de la présence et
de la sévérité des anomalies foetales, de la prématurité
extrême, et des engagements à la femme enceinte.
Il est très important d’apprécier dans le jugement
clinique obstétrique et de pratiquer que la force de la consultation
directive pour la prestation foetale change selon la présence et la
sévérité des anomalies. En règle générale, plus l’anomalie
foetale est plus grave, moins directive la consultation devrait être
pour la prestation foetale. En particulier, quand des anomalies
mortelles telles que l’anencéphalie peuvent être diagnostiquées
avec certitude, il n’y a aucune obligation bienfaisance-basée de
fournir la gestion agressive. De tels foetus meurent des
patients, et la consultation devrait, donc, être nondirective dans
la recommandation entre la gestion et l’arrêt non-agressifs de la
grossesse, mais dans la directive dans la recommandation contre la
gestion agressive pour la prestation maternelle (16). En
revanche, l’avortement de troisième-trimestre pour vers le bas le
syndrome ou l’achondroplasia n’est pas moralement justifiable,
parce que le futur enfant avec la probabilité élevée aura la
capacité de se développer et se développer comme être d’humain
(17.18).
La consultation directive pour la prestation foetale dans
les cas de la prématurité extrême des foetus viables est
appropriée. En particulier, c’est le point de droit pour ce que
nous nommons les foetus juste-viables, ceux avec un âge de
gestational de 24 à 26 semaines, lesoù il y a des cadences
significatives de survie mais des cadences élevées de la mortalité
et de la morbidité. Ces cadences de la morbidité et de la
mortalité peuvent être augmentées par la gestion obstétrique
non-agressive, attendu que la gestion obstétrique agressive peut
favorablement influencer des résultats. Ainsi, il s’avère
qu’il y a des obligations bienfaisance-basées substantielles aux
foetus juste-viables de fournir la gestion obstétrique agressive.
C’est d’autant plus le cas dans les grossesses au delà de 26
semaines d’âge de gestational. Par conséquent, la
consultation directive pour la prestation foetale est justifiée dans
tous les cas de la prématurité extrême des foetus viables,
considérée par elle-même. Naturellement, une telle
consultation directive est appropriée seulement quand elle est basée
sur l’efficacité documentée de la gestion obstétrique agressive
pour chaque indication foetale. Par exemple, une telle
efficacité n’a pas été démontrée pour que la livraison
césarienne courante contrôle la prématurité extrême.
La consultation directive pour la prestation foetale doit
se produire dans le contexte d’équilibrer des engagements
bienfaisance-basés au foetus contre des engagements
bienfaisance-basés et autonomie-basés à la femme enceinte.
Un tel équilibrage doit identifier qu’une femme enceinte est
obligée de prendre seulement des risques raisonnables des
interventions médicales qui sont sûrement attendues pour
bénéficier le foetus ou l’enfant viable plus tard. Un
dispositif unique de l’éthique obstétrique est que l’autonomie de la
femme enceinte influence si, dans un cas particulier, le foetus viable
doit être considéré comme présenté au médecin.
Évidemment, n’importe quelle stratégie pour la
consultation directive pour la prestation foetale qui tient compte des
engagements à la femme enceinte doit être ouverte de possibilité de
conflit la décision autonome entre la recommandation du médecin et
d’une femme enceinte à l’effet contraire. Un tel conflit mieux
est contrôlé préventivement par le procédé au courant de
consentement comme dialogue continu dans toute la grossesse d’une
femme, augmentée selon les besoins par voie de négations et la
persuasion respectueuse (19).
Le Patient Foetal Pré-viable :
La seule barrette possible entre le foetus pré-viable
et l’enfant qu’il peut être est l’autonomie de la femme enceinte.
C’est parce que les facteurs technologiques ne peuvent pas avoir
comme conséquence le foetus pré-viable allant bien à un enfant.
La barrette, donc, entre un foetus et l’enfant il peut devenir
quand le foetus est pré-viable peut être déterminé seulement
par la décision de la femme enceinte pour s’entretenir le statut
d’être un patient sur son foetus pré-viable. Le foetus
pré-viable n’a, donc, aucune demande de règlement au statut
d’être un patient indépendamment de l’autonomie de la femme
enceinte. La femme enceinte est libre pour retenir,
s’entretient, ou, après s’être une fois entretenu, retire le statut
d’être une patiente sur ou de son foetus pré-viable selon ses
propres valeurs et croyance. Le foetus pré-viable est
présenté au médecin en fonction de l’autonomie de la femme enceinte
(4).
Pour les grossesses dans lesquelles la femme est
incertaine environ si s’entretenir un tel statut, les auteurs
proposent que le foetus soit provisoirement considéré comme un
patient. Ceci justifie la consultation directive contre le
comportement qui peut nuire à un foetus des manières significatives
et irréversibles, par exemple, abus de substance, particulièrement
alcool, jusqu’à ce que la femme solde le compte dessus si
s’entretenir le statut d’être une patiente sur le foetus.
En particulier, la consultation nondirective est
appropriée dans les cas de ce que nous nommons les foetus
proche-viables, c.-à-d., telles qui sont de 22 à 23 semaines
d’âge de gestational, lesoù il y a des rapports anecdotiques de
la survie (15.20). Dans notre vue, la gestion obstétrique et
néonatale agressive devrait être considérée comme la recherche
clinique (c.-à-d., une forme d’expérimentation médicale), pas une
norme du soin. Il n’y a aucune obligation de la part d’une femme
enceinte de s’entretenir le statut d’être un patient sur un foetus
proche-viable parce que l’efficacité de la gestion obstétrique et
néonatale agressive a pour être prouvée encore.
L’embryon in vitro en tant que patient :
Un sous-ensemble de foetus pré-viables comme patients
concerne l’embryon in vitro. Il pourrait sembler que l’embryon
in vitro est un patient parce qu’un tel embryon est présenté au
médecin. Cependant, pour des obligations
bienfaisance-basées à un être humain d’exister, des
interventions médicales doivent être sûrement prévues pour être
efficaces. Rappelez-vous que, en termes de bienfaisance, si le
foetus est un patient dépend des barrettes qui peuvent être
déterminées entre le foetus et son statut moral indépendant
certain. Par conséquent, le caractère raisonnable des
interventions médicales sur l’embryon in vitro dépend de si cet
embryon devient plus tard viable. Autrement, aucune prestation
d’une telle intervention ne peut clairement être dite pour résulter.
Un embryon in vitro devient, donc, viable seulement quand il
survit division in vitro de cellules, transfert, implantation, et
gestation suivante à une telle heure qu’il devient viable. Le
procédé de réaliser la viabilité se produit seulement in vivo et
dépend donc entièrement de la décision de la femme concernant le
statut du fetus(es) en tant que patient, si la conception aidée a
avec succès comme conséquence la gestation du fetus(es)
pré-viable. Si un embryon in vitro deviendra un foetus
viable, et si l’intervention médicale sur un tel embryon
bénéficiera le foetus, est les deux fonctionnements de la décision
autonome de la femme enceinte à retenir, s’entretient, ou, après
s’être une fois entretenu, retirez le statut moral d’être un patient
sur le fetus(es) pré-viable qui pourrait résulter de la
conception aidée.
Il est donc approprié de considérer l’embryon in vitro
comme foetus pré-viable plutôt que comme un foetus viable.
Par conséquent, n’importe quel embryo(s) in vitro devrait
être considéré comme un patient seulement quand la femme dans
laquelle la région reproductrice l’embryo(s) sera transféré
s’entretient ce statut. Ainsi, la consultation au sujet du
diagnostic de preimplantation devrait être nondirective.
La consultation de diagnostic de Preimplantation devrait
être nondirective parce que la femme peut choisir de ne pas
implanter les embryons anormaux. Ces embryons ne sont pas des
patients, et tellement il n’y a aucune de base à la consultation
directive. L’information devrait être présentée au sujet du
pronostic pour une grossesse réussie et la possibilité de confronter
une décision au sujet de réduction sélective, selon le nombre
d’embryons transférés. La consultation au sujet de combien des
embryons in vitro devraient être transférés devrait preuve-être
rigoureusement basée (21).
Conclusion :
En cet article, nous avons fourni un cadre moral pour le
jugement clinique obstétrique et pratiquons, avec l’emphase
particulière sur le concept moral du foetus en tant que patient.
Mettre en application ce cadre moral quotidiennement est
essentiel à créer et à maintenir le rapport de médecin-patient
en obstétrique. Ce cadre souligne l’éthique préventive,
c.-à-d., une appréciation que le potentiel pour le conflit moral est
établi dans la pratique clinique et l’utilisation de tels outils
cliniques comme le consentement et la négociation avisés d’empêcher
un tel conflit de se produire. Ce cadre lance un appel largement
les principes moraux de la bienfaisance et du respect pour l’autonomie
et indique comment ils forment le concept moral du foetus en tant que
patient, qui est un concept moral essentiel pour la pratique
obstétrique. Nous croyons que ce cadre moral n’est pas limité
à l’éthique médicale ou à la pratique obstétrique aux Etats-Unis,
mais nous appliquons dans d’autres pays aussi bien.
Références :
- Université américaine des obstétriciens et des
gynécologues. Éthique dans l’obstétrique et la Gynécologie,
2ème ED. Washington, C.C. Université américaine des
obstétriciens et des gynécologues. 20004. - Association des professeurs de la Gynécologie et de
l’obstétrique. Éditions médical-légales les explorant
dans l’obstétrique et la Gynécologie. Washington, C.C.
Éducation Médicale Foundation, 1994 d’APGO - Le Comité de FIGO pour l’étude des aspects
moraux de reproduction humaine. Recommandations des éditions
morales dans l’obstétrique et la Gynécologie. Londres.
Fédération internationale de Gynécologie et d’obstétrique.
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